21 mai 2011
Chez Sébastien P. on déguste de belles choses
Ce samedi, en arrivant chez Sébastien P. je savais déjà qu'il allait fermer boutique. Il m'avait prévenu que désormais les contraintes étaient trop lourdes. Sa cave-épicerie va rester ouverte jusqu'en juin-juillet et il va continuer ses casse-croûtes oenologiques du samedi. Ce samedi 28, il y a même une superbe dégustation de vins argentins bien foutus. Le jour où nous y sommes passés, nous ne pensions pas manger chez Sébastien mais juste acheter quelques quilles. Le côté convivial de ses apéros nous a rattrapé et nous nous sommes rassemblés autour de la grande table avec d'autres connaisseurs voisins : on n'est pas vraiment entre "bobos parisiens". Et nous y sommes restés... quatre heures.
Et en quatre heures, on a eu le temps de se familiariser avec de nouvelles choses comme cette cochonaille et fine gelée au riesling (un genre de fromage de tête) de Frédéric Riffaud (MOF charcutier installé au Luxembourg). Et évidemment quelques bouteilles. Dont cette incroyable Petits Sylphes (ugni blanc, grenache blanc et un peu de chasselas) : un truc absolument introuvable, quelques centaines de bouteilles selon Sébastien. Les vignerons s'appellent Elodie Aubert etRaphaël Gonzales du Clos des Cîmes. Vendange manuelle, pressurage direct, on fonctionne évidemment aux levures indigènes, mise de soufre à la bouteille. Vin absolument superbe, fort, plein, que je déboucherai à nouveau en automne quand il aura bien pris place dans la bouteille. Avis aux cambrioleurs, j'en ai donc une dans ma cave.
Et en quatre heures, on a eu le temps de se familiariser avec de nouvelles choses comme cette cochonaille et fine gelée au riesling (un genre de fromage de tête) de Frédéric Riffaud (MOF charcutier installé au Luxembourg). Et évidemment quelques bouteilles. Dont cette incroyable Petits Sylphes (ugni blanc, grenache blanc et un peu de chasselas) : un truc absolument introuvable, quelques centaines de bouteilles selon Sébastien. Les vignerons s'appellent Elodie Aubert etRaphaël Gonzales du Clos des Cîmes. Vendange manuelle, pressurage direct, on fonctionne évidemment aux levures indigènes, mise de soufre à la bouteille. Vin absolument superbe, fort, plein, que je déboucherai à nouveau en automne quand il aura bien pris place dans la bouteille. Avis aux cambrioleurs, j'en ai donc une dans ma cave.
.... le reste de l'article sur :
http://dumorgondanslesveines.20minutes-blogs.fr/tag/petits+sylphes
Guillaume NICOLAS-BRION